L'agriculture en pleine montagne (Sur les hauteurs de Skikda)

Texte

Abdeslam Benlarbi

De la pomme de terre, de l'ail, les oignons et sans oublier la fraise, il est temps d'en implanter avant que décembre part au détriment du mois de janvier.  

Un secteur qui renoue avec les traditions de nos ancêtres pour que l'Algérie devienne le nouveau grenier en matière des cultures stratégiques telles que le blé, sans oublier les fruits et légumes. Durant l'occupation romaine toutes les terres ont été labourées et même les montagnes ont fait l'objet d'une exploitation rationnelle.

Durant l'occupation française, une agriculture moderne avec des fermes ont été irrigées à travers l'Algérie mais au déméritent des terres propriétés (Melk), les terres du Beylek, les terres archs et les biens wakfs.

Durant l'indépendance les expériences marxistes léninistes avec des doses de l'autogestion yougoslave a frappé l'agriculture ou le  reste de ce secteur en plein fouets. Je parle des comités de gestion instaurés par le Président Ahmed Ben Bella et la révolution agraire avec le Colonel Houari Boumediene. Durant la règne de la révolution agraire toutes les types bureaucratiques de la gestion agricole ont été pratiqués en Algérie.

Actuellement, l'office National des Terres agricoles attribuent des terres dans le cadre des concessions, mais le gros est retourné chez les anciens propriétaires qui ont vu leurs terres sa gagées par cette révolution et ce, pour mettre en ouvre l'expérience chinoise '' la commune populaire'', le'' Kolkhoze " de l'ex URSS, etc.